Biographie
d'Hugues Reiner
Hugues Reiner est né à Paris
en 1960 d’une famille de musiciens et d’écrivains.
Il se sent très tôt attiré par la direction
d’orchestre. Il a dirigé à ce jour plus
de 1500 concerts dans plus de 40 pays dont certains concerts
avec les solistes Pierre Amoyal, Miguel-Angel Estrella, Maurice
Gendron, Ivry Gitlis, Frédéric Lodéon,
Alain Marion, Marielle Nordmann, Régis Pasquier, Pascal
Rogé, Dang Thai Son…
En 1979, après des études de piano,
violon, chant et direction, il fonde à 19 ans son premier
orchestre avec chœur et dirige des concerts à la
Salle Pleyel, au Théâtre des Champs-Élysées,
à la Salle Gaveau, au grand Auditorium de Radio France,
au Palais Omnisports de Bercy et au Palais de l’UNESCO.
Il a dirigé l'intégrale des symphonies de la plupart
des compositeurs romantiques dont Gustav Mahler, ainsi que les
œuvres majeures du 20ème siècle comme «
Le Sacre du Printemps » de Stravinsky, l’intégrale
de Roussel, Honegger, Ravel, Debussy, Landowski, etc. et les
plus grands oratorios dans les festivals les plus prestigieux
: Requiem de Mozart, Verdi, Brahms, Fauré, Duruflé,
Symphonie « des Mille » de Gustav Mahler, Symphonie
« Résurrection » de Gustav Mahler, «
Elias » de Mendelssohn, « La Création »
de Haydn, « Le Messie » de Haendel…
En 1982, à la demande des Ministères
de la Culture et de la Défense, il crée et dirige
à l'âge de 22 ans, pendant deux saisons de 70 concerts,
le Chœur d’Hommes de l’Armée Française
(Cathédrale Notre-Dame de Paris, Théâtre
antique de Vaison-la-Romaine, TF1, France 2).
En 1989, il réunit 400 musiciens des
12 pays de la Communauté Européenne pour interpréter
la « 9ème Symphonie » de Beethoven le 6 mars
au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles sous le haut patronage
de la Reine Fabiola et le 24 avril à la Salle Pleyel
à Paris sous le haut patronage de Jacques Delors.
Ces deux événements sont le point
de départ de nombreuses rencontres entre musiciens de
différentes formations européennes. Le Président
du Parlement Européen encouragea vivement Hugues Reiner
« pour ces initiatives culturelles qui contribuent à
la compréhension des peuples européens et donc
à leur union ».
Hugues Reiner est le premier chef d'orchestre
invité à diriger l'orchestre de la radio-télévision
de Pékin, un an après les événements
de la Place Tienanmen. Ce fut pour lui l'occasion d’exprimer
« musicalement » devant les caméras officielles
un message pour la promotion des Droits de l'Homme.
La Fondation Ecole Normale de Musique de Paris
Albert-Roussel lui accorde une bourse pour interpréter
l'intégrale de ce compositeur à la Salle Pleyel.
La Fondation du Crédit National subventionne la formation
pour une série de concerts au Palais de l'UNESCO.
Hiver 1989/1990, Hugues Reiner dirige les orchestres
de Klug, Iassi, et Bucarest pendant la révolution en
Roumanie.
Entre 1990 et 1995, de grandes entreprises (Jaguar,
Bayard Presse, RTL, BRED, FRED, SANOFI, Price Waterhouse, Guerlain)
ont sollicité Hugues Reiner pour diriger leurs concerts
de gala au Théâtre des Champs-Élysées,
à la Salle Pleyel et au château de Versailles.
TF1 et France 2 ont fait appel à lui régulièrement
pour interpréter des pages symphoniques dans les grandes
émissions populaires.
En 1992, il part avec la célèbre
chanteuse israélo-palestinienne Sarah Alexander, afin
de rencontrer des musiciens des deux communautés, dans
le but d'organiser des concerts.
En 1993, à l’occasion de la Fête
de la Musique, il a dirigé, du sommet du Mont Blanc,
un concert retransmis sur les principales chaînes de télévision
européennes, concert symbole de fraternité rassemblant
des musiciens pour interpréter « La Fantaisie »
pour piano, chœur et orchestre de Beethoven devenu l’Hymne
officiel européen.
En août 1993, il donne à Belgrade
un immense concert où il invite les principaux responsables
de l'opposition démocratique.
En novembre 1993 il parvient, en pleine guerre,
pendant sept semaines à reconstituer dans Sarajevo assiégée,
l’orchestre de la radio-télévision de Bosnie,
faisant reculer ainsi la haine et la barbarie par la force expressive
et universelle de la musique. Il donna plusieurs concerts dans
la bibliothèque détruite et l’hôpital
permettant également à cet orchestre héroïque
d’enregistrer un témoignage unique dans l’histoire
de la musique.
Les médias du monde entier relatent cette
extraordinaire initiative. Avec ce spectaculaire engagement
de citoyen, Hugues Reiner définit ainsi son « apostolat
» : « toute action artistique et donc chaleureuse
se rapproche naturellement d’une action de solidarité
».
En 1994, Hugues Reiner a enregistré à
Bordeaux devant 5.000 spectateurs « Carmina Burana »
de Carl Orff avec 500 musiciens (chez Forlane) et les œuvres
de Didier Van Damme avec l’Orchestre Symphonique de RTL
(chez Sony Masterworks). Il a également enregistré
à l’église St-Séverin le «
Requiem » de Duruflé.
En 1997, il est invité par Marcel Landowski,
Secrétaire Perpétuel de l’Académie
des Beaux-Arts à diriger à l’Institut de
France un programme de musique française devant les plus
importantes personnalités artistiques.
A partir de janvier 2001, il entreprendra l'enregistrement
de l'intégrale des symphonies de Gustav Mahler, son compositeur
de prédilection. C’est le fruit d'une dizaine d’années
de travail approfondi avec des orchestres d'Europe Centrale
à la philosophie proche du compositeur. Le premier CD
a paru en 1998 : Reiner a enregistré la 4ème Symphonie
avec l’Orchestre de Voronej.
Il reçoit également de très
nombreuses lettres d'encouragement des Attachés de Coopération
Française à l'étranger dont celle de l’Attaché
de Coopération française de la ville de Voronej.
Citons également les descendants de Rimsky-Korsakoff
: « Nous avons été très touchés
par votre action remarquable et nous vous remercions de donner
un si bel exemple d’action solidaire pour ces orchestres
russes ».
De grands musiciens ont également encouragé
Hugues Reiner à poursuivre et développer son action,
comme Yehudi Menuhin, Marcel Landowski, Jean-Claude Casadesus,
Georges Prêtre, Henri Dutilleux, Pierre Cochereau, Marcel
Corneloup, Miguel-Angel Estrellas…
Les plus hautes personnalités ont adressé
les plus vifs encouragements à l’action artistique
et humanitaire de Hugues Reiner : Chefs d'État, Président
du Parlement Européen, Président du Mouvement
Européen, Secrétaire général de
la Francophonie, Président du Sénat, Ministre
de la Culture Européenne, ainsi que de nombreux députés
et sénateurs.
En juin 2002 avec l’Orchestre de Voronej
il a enregistré le 1er Concerto pour piano de Tchaïkovski
et la création mondiale du concerto pour piano, «
Korczak » d’Élie Koff.
À partir de septembre 2002 avec Boutros
Boutros-Ghali (ancien Secrétaire général
de l’Organisation internationale de la Francophonie),
puis Abdou Diouf (le nouveau Secrétaire général
de l’Organisation internationale de la Francophonie) il
contribue à la création d’institutions musicales
pour la solidarité entre les conservatoires des pays
nord-sud et ouest-est. Il établit un partenariat avec
des membres éminents du Lions Club afin de promouvoir
la culture dans sa dimension internationale et généreuse.
Depuis 2003 il est missionné par le gouvernement
du Kazakhstan pour animer des échanges artistiques avec
la France.
En 1993 il dirige plus de 70 concerts dont plusieurs
à l’UNESCO en association avec l’Ambassade
du Kazakhstan, et l’Ambassade du Vietnam par le biais
duquel il entreprend une collaboration avec le pianiste Dang
Thai Son, premier prix du concours international Frédéric
Chopin de Varsovie, avec lequel il va entretenir une relation
régulière.
Citons également le concert dans le cadre
du Festival international de musique sacrée de Lourdes,
à l’issue duquel il reçoit une lettre d’encouragement
pour son action culturelle et humanitaire de Monseigneur Paul
Poupard, responsable de la culture auprès du Vatican.
A la demande de Monsieur Christian Poncelet,
Président du Sénat, il dirige devant plus de 145
musiciens et 5000 personnes le concert de la Fête de la
Musique dans la cour d’honneur du Palais du Luxembourg.
Il enregistre en première mondiale deux
concertos pour violon et orchestre de Kreutzer avec la violoniste
française Marie-Christine Millière.
A la demande du Sénat, afin de promouvoir
la musique dans sa dimension la plus généreuse
possible Hugues Reiner s’associe progressivement avec
110 délégués départementaux et régionaux
en France. Ils constitueront ainsi la base relationnelle et
logistique pour permettre à l’Orchestre européen
de poursuivre en liaison avec des collectivités locales,
associations musicales et associations humanitaires sa mission
culturelle.
En octobre 2003 il dirige l’Orchestre
national de Lituanie à l’occasion d’un grand
concert télévisé.
En novembre 2003 il crée dans les églises
parisiennes un cycle de musique baroque avec l’Ensemble
baroque européen.
A partir de 2004 plus de 25 délégations
nationales auprès de l’UNESCO entreprennent une
collaboration afin d’établir des relations artistiques
bilatérales.
Le 12 janvier 2004 il dirige neuf parmi les
plus grands chanteurs actuels dont Vladimir Galouzine au Théâtre
du Châtelet.
Il entreprend une série de concert baroques
à l’Eglise St Séverin avec le contre-ténor
Bertrand Dazin.
Le 17 juin 2004, Reiner réunit des choristes
de nombreuses chorales parisiennes pour faire un concert exceptionnel
avec la Mairie d’Issy les Moulineaux, en commémoration
des jumelages multiples qu’a cette ville avec cinq pays
européens.
Suite au concert au Théâtre Mogador
le 22 juin 2004, Michel Faussurier de l’agence artistique
Mi-Fa l’engage.
En septembre, la Fondation Léopold Bellan
accueille le Chœur européen de Paris dans ses locaux.
Le 2 septembre 2004, à l’université
d’été du groupe Caisse d’Epargne,
Hugues Reiner forme 150 banquiers choristes, ce qui aboutit
à un concert des chœurs célèbres d’opéras,
accompagné par l’Orchestre Pasdeloup au Château
de Chantilly.
Dès septembre 2004, lancement officiel
du Chœur européen de Paris. Six semaines plus tard,
le Chœur chante le Requiem de Verdi accompagné par
l’Orchestre Pasdeloup à l’Eglise de la Trinité.
En décembre 2004, ce Chœur donne
des représentations très appréciées
du Requiem de Mozart à l’Eglise St Séverin
avec déjà une centaine de choristes.
Le 6 février 2005, Hugues Reiner entame une nouvelle
formation de cadres, cette fois-ci avec l’entreprise «
Un Jour Ailleurs » au Pavillon Baltard à Nogent-sur-Marne.
Le 17 février 2005, avec la participation
de la soprano Sandrine Piau, il dirige un grand concert de soutien
au Sri Lanka à l’UNESCO, avec son partenaire caritatif,
l’association humanitaire « Espoir sans frontières
».
Le 9 mars 2005, son Chœur européen
de Paris donne un concert à l’Eglise St Sulpice
(Requiem de Fauré).
En projet : une collaboration avec le London
Symphony Orchestra, des formations avec des entreprises (BNP-Paribas,
Crédit Foncier, Transiciel, etc.).